Planification des études

Lorsque vous investissez dans le potentiel d’une personne, vous faites bien plus que de rendre possibles les aspirations d’éducation supérieure d’un étudiant qui vous est cher. Vous contribuez peut-être à bâtir une tradition d’aspiration aux études supérieures qui se transmettra de génération en génération. Qui plus est, le gouvernement fédéral peut vous octroyer des subventions afin de faire croître votre épargne plus rapidement⁽¹⁾. Enfin, les fonds détenus dans un REEE peuvent fructifier sans être soumis à l’impôt. Les retraits seront imposés en fonction des revenus de l’étudiant et s’accompagneront généralement de taxes minimales, voire nulles⁽²⁾.

En travaillant ensemble, nous choisissons une stratégie de placement adaptée à votre profil et à celui de l’étudiant. Il convient de garder à l’esprit que des limites de cotisation s’appliquent, quel que soit le niveau de revenus concerné.

⁽¹⁾Sous certaines conditions et jusqu’à un plafond maximal. La subvention canadienne pour l’épargne-études apporte un montant équivalent à 20 % des cotisations sur le REEE, dans la limite de 500 $ annuels par bénéficiaire. Les subventions peuvent être versées jusqu’à l’année où le bénéficiaire atteint 17 ans. Le plafond de la subvention est de 7 200 $ par bénéficiaire et les cotisations maximales totales sont de 50 000 $ par bénéficiaire. Il est également possible de récupérer les subventions non reçues les années précédentes en apportant des cotisations allant jusqu’à 5 000 euros par an.

⁽²⁾Certaines conditions peuvent s’appliquer. Les gains détenus dans un REEE ne sont pas soumis à l’impôt. Les retraits utilisés pour payer les dépenses universitaires admissibles sont imposables pour le bénéficiaire du REEE. Toutefois, si vous retirez de l’argent d’un REER et que vous ne l’utilisez pas pour des dépenses universitaires admissibles, vous serez assujetti à l’impôt sur le revenu et à un impôt supplémentaire de 20 %.